On se réincarne tant que les conséquences de nos actions ne sont pas complètement liquidées…
Mais un jour, proche ou lointain (c’est nous qui choisissons), nous n’aurons plus du tout besoin de nous réincarner. Volant en toute liberté dans les espaces infinis, dans la lumière et la joie cosmiques, nous serons des esprits libérés.
Voilà une définition succincte que l’on peut lire généralement sur le sujet.
Quand suis-je tomber dans l’intérêt du Karma?
Lorsque enfant je vivais dans un foyer familial -qui normalement aurait du être rempli d’amour- mais où injustice, sévices, maltraitance à mon égard régnaient, je ressentais que je n’étais pas née dans le bon « nid ». Je n’avais alors aucun outil autres que la lecture, le rêve et l’imaginaire pour échapper tant bien que mal à la solitude d’être celle qu’on ne désire pas, celle qu’on rejette, celle qu’on nomme la bâtarde. À cette époque, les chiens étaient encore traités de bâtards, aujourd’hui on parle de croisement, c’est plus doux et plus vendeur. Dès l’âge de 11 ans, j’imaginais partir, quitter ce foyer handicapé d’amour, où seuls les cris, les coups, les insultes faisaient loi contre moi. Quand ma délivrance aux souffrances arriva, à la fin de ma quinzième année, j’ai réfléchi pourquoi dans certaines familles les dés étaient jetés bien différemment. Mes nouvelles lectures s’orientèrent sur l’astrologie, je voulais comprendre pourquoi certains avaient une vie aimante facilement, sans avoir à se battre ou être battus, et pas d’autres. Était-ce la faute à mon signe astrologique? à mon signe chinois? J’avais lu que les futures mères chinoises avortaient fin 1965 pour éviter de mettre au monde un enfant en année du Cheval de Feu. Ces pistes ont été néanmoins des balbutiements pour ce qui ne m’a jamais lâché: comprendre « d’où » on vient pour bien entendu savoir où j’allais. Croyante, pratiquante, je croyais à la vie après la vie. Un bon début pour ensuite croire à la vie avant la vie. Nul ne souffre par hasard. Le karma est un devoir, un devoir de guérison et d’évolution. Pour ma part, il m’a obligé à rester sur terre, moi qui avais une propension à m’échapper, me réfugier dans l’ailleurs. Mon hyper-sensibilté a du se taire, se tenir la plus éloignée possible pour tenter d’adopter une nouvelle carapace: la force, l’envie de comprendre, la soif de savoir, développer mes talents innés, croire en mes perceptions extra-sensorielles.
Dharma?
C'est une méthode interne de guérison. Cette méthode apporte un souffle libérateur définitif, autant psychologiquement, physiquement qu’émotionnellement, en annulant les causes et les souffrances qui en découlent. L’efficacité de la guérison permet d’aller de l’avant sans transporter les boulets de votre passé.
Intégrer le Dharma dans votre vie quotidienne correspond à identifier les problèmes afin de les éviter. De transformer votre manque d’assurance ou vos problèmes relationnels pour ne citer que ceux-ci en cherchant la solution, la source de vos mal-être en vous tournant à l’intérieur de vous-même.
Car c’est en vous seul que se trouve la solution à tous vos maux, à la mauvaise image que vous avez de vous, aux mots peu flatteurs que vous vous attribuez, apprendre à vous aimer pour refléter la lumière de votre âme qui ne demande qu’à briller.
Vies Antérieures
Qui dit Vies antérieures dit croire en la réincarnation, aux vies avant la vie. À l’âme qui se réincarne après avoir expérimentée différentes vies dans des époques proches ou lointaines. L’âme ne revient pas dépourvu de savoir et de dons acquis dans les vies passées mais aussi de karma à solder dans l’ici et maintenant. Elle donne aussi des rendez-vous avec d’autres âmes pour se retrouver sur terre soit en tant qu’âme soeur soit en tant que karma à régler. Chaque âme porte en elle des souvenirs de lieux, de pays avec cette impression de déjà vus ou visités, de personnes (qu’on aime ou déteste spontanément), des énergies qui nous parlent bien avant que notre cerveau se mette à fonctionner. Jusqu’à l’âge de 7 ans, les enfants ont des réminiscences de leurs vies antérieures, c’est pourquoi certains parlent « seuls » ou « voient » des fantômes qui ne sont autres que des manifestations des âmes qui utilisent leur canal pour transmettre des messages.